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Ma photo de famille.

La photo dont  je vais parler a été prise Il y a trois ans.  C’était l’été 2006, et il faisait très chaud.

L’occasion était vraiment spéciale, parce nos cousins étaient venus  de l’Argentine nous rendre visite. C’était un jeune couple qui venait de se marier et qui voulait passer ses vacances avec nous. La femme, Cecilia, est fille d’une cousine de mon père qui était partie pour l’Argentine quand elle était une petite fille, mais ici dans les Asturies habitent encore un autre oncle et sa famille ; alors nous avons décidé de faire une grande réunion.

Nous sommes allés chez l’oncle Hermogènes ; c’est celui dont j’ai déjà parlé. Il habitait dans un petit village près de la montagne. Son fils et sa fille, qui habitaient à Gijón, sont allés aussi avec leurs familles, petits-enfants inclus. Nous avons mangé des plats traditionnels de la gastronomie asturienne et puis nous sommes sortis de la maison pour profiter de l’air pur de la montagne.

En plus, nous avons partagé des souvenirs d’enfance de nos grands parents qui nous ont fait rire et pleurer. Cet après-midi-là, nous avons pris beaucoup de photos, parmi lesquelles se trouve celle dont je me souviens. Dans la photo, le soleil brille et on peut voir quatre générations d’une famille qui s’étend partout dans le monde mais qui est capable de rester unie, malgré la distance.

Natalia, 1ère NI

Les Rois Mages / María

25 janvier 2010

Sur cette photo, j’étais avec mes deux frères. Tous les  trois  étaient  avec le Roi Gaspar. C’était l’Epiphanie. J’avais huit ans, mon frère aîné avait treize ans et mon frère, le plus jeune, avait cinq ans. Je portais un pantalon marron, un pull noir et un manteau gris. Mon frère aîné était vetû d’un pantalon gris, un chandail noir, un manteau gris et des lunettes. Mon petit frère portait un chandail blanc, un pantalon marron avec des bretelles et un cap blanc. Les Rois Mages m’avaient apporté une poussette mais j’étais triste parce que je savais que le Roi Gaspar était mon voisin, Carlos; ce n’était pas le Roi Gaspar. Dans mon visage on pouvait voir la déception, mais mon petit frère était heureux avec son jouet et son doigt dans le nez.

Ce jour-là, j’ai appris qu’on pouvait être un RM mais il valait mieux être loin du quartier.

Après cette surprise, j’ai tout de même gardé l’illusion: j’ai entendu les Rois Mages mettre les cadeaux au pied de mon lit et le lendemain, je jouais,  heureuse…….jusqu’à ce que mon petit frère ait découvert les “vrais RM”. Il avait onze ans, et toi, quel âge avais-tu?

                                                           María, 1ère NI

L’autre jour j’ai trouvé une photo de mes enfants quand ils étaient petits. Ils étaient devant les statues des Rois Mages à La Coruña.

Quand j’étais très jeune, ce dont je rêvais c’était de célébrer l’an 2000 à Paris, je serais une célèbre psychologue et j’aurais un fiancé très riche mais, la réalité était très différente à Noël 1999 : je ne travaillais pas, j’étais mariée mais, certainement, mon mari n’étais pas riche et en plus j’avais trois enfants : Iván,

Irene et Pablo, lesquels, à cette époque-là, avaient six, cinq et trois ans. 

Un ami nous avait dit que « L’Aquarium Finisterrae »  venait d’ouvrir à La Coruña. C’est pour cela que nous avons décidé d’y aller et célébrer le Nouvel  An.

Nous sommes partis d’Oviedo le 28 décembre. Le voyage, durant lequel il a fallu être préparé pour la soif, la faim et la question : il manque beaucoup pour arriver ?, a été fatigant.

Le 29 décembre nous avons visité l’Aquarium et le Musée des Sciences où nous avons vu comment les poussins sortaient de la coquille. L’après-midi et le soir nous sommes restés à l’hôtel parce qu’il faisait un temps de chien.

Le 30 décembre il y avait du soleil et nous nous sommes promenés par les rues de la ville. Ce jour-là Irene et Pablo étaient insupportables, elle, elle voulait se

baigner à la plage et lui , il avait vu d’énormes statues des Rois Mages et il pensait que les Rois Mages arriveraient avant lui chez nous et comme il n’était pas à la maison les Rois ne lui laisseraient plus de cadeaux  et c’est pour cela qu’il voulait s’en aller. Par contre, Iván était très sage. Il avait de la fièvre.

Le 31 décembre nous sommes arrivés chez nous. Le retour a été plus tranquille.

Iván avait la varicelle. Pablo était déjà content ( il était arrivé avant les Rois Mages ) mais,  Irene continuait fâchée et  elle menaçait : « quand je serai grande, je me baignerai à la plage en hiver ! »

À la fin, il nous fallait bien trinquer pour le Nouvel An !

                                                                                            Carmen, 1ère NI   

Je me souviens de cette photo et je l’aime bien. Le jour avant, mon ami Charles et moi, nous étions passés prendre notre amie Rose à la gare du train. Nous avions travaillé tous les trois ensemble jusque l’année d’avant mais maintenant nous habitons dans une autre ville, à 400 km. Nous avions minutieusement préparé sa visite. Le soir avant, nous nous étions promenés pour lui montrer la ville et nous avions dîné dans un restaurant typique. Ce matin-là, nous nous sommes levés très tôt et nous sommes vite partis pour la plage. C’était une matinée d’automne très lumineuse mais il faisait froid car les températures étaient très basses. Par conséquent,  nous avons mis nos manteaux et nos écharpes tel qu’on le voit sur la photo. La plage était presque déserte. Il y avait seulement une jeune fille qui jouait avec son chien. Toutefois, nous étions ravis de l’atmosphère au moment de prendre la photo. Nous avons préparé l’appareil-photo numérique sur mode automatique : voilà pourquoi nous sommes tous les trois sur la photo. Nous avons répété plusieurs fois pour nous mettre d’accord. Ç’a été amusant. Une journée fantastique, en somme.

Sonia, 1ère NI

C´était une ennuyeuse soirée et c´est pourquoi j´ai décidé de voir des albums de photos de mon enfance. Je me suis arrêtée sur une d´elles. Celle- ci était une photo de famille que avait été prise chez ma grand-mère le jour de son anniversaire.

Sur la photo, on pouvait voir toute ma famille: à cette époque-là mon père avait la barbe, ma mère avait les cheveux longs et ma grand-mère était encore vivante. Mon frère aîné et moi, nous étions deux grenouilles qui se battaient toute la journée et à cause de cela ma mère en avait marre de nous.

Mon papi n’était pas sur la photo parce que c´etait lui qui l’avait prise avec son vieil appareil photo. Je me souviens de mon papi tout en criant “trente-trois” pendant que nous riions tous. Ce jour-là, il faisait très froid, donc ma mamie avait allumé la cuisinière à charbon. Moi, j´aimais metre mes petites mains sur la cuisinière pour me réchauffer. Je me souviens de manger tous ensemble mais surtout du flan que ma grand-mère avait préparé..

Après déjeuner, mon frère et moi, nous avons joué au mécano et quand nous nous sommes ennuyés, nous sommes sortis dans la cour qu´il y avait derrière la maison. Nous avons joué un moment, jusqu`à ce que nous avons vu le canif de notre papi sur une chaise. Tous les deux voulions le prendre. Mon frère l`a pris par le manche et je l´ai pris par le fil. Le résultat: j´ai fini à l´hôpital où le médecin m´a cousu le doigt. Comme je n´avais pas pleuré pendant l´opération, mes parents m´ont acheté un esquimau. Á la fin, c´a été une grande journée pour moi.

Loreto, 1ère NI

Cette histoire a eu lieu il y a 50 ans environ, quand j` étais petit.
Sur la photo, on peut voir des élèves à l’ école d’ orientation maritime, qui ont fini les cours après la séance matinale.
Une autorité qui est venue de Madrid, avait rendu visite à l’école. Après, on leur a fait une photo dans laquelle se trouvait,parmi d’autres, mon frère, le plus âgé. Nous tous, les plus petits, nous étions rassamblés pour la photo et quelques petites filles, qui s’ occupaient de leurs petits enfants, aussi.
L’ anecdote de cette photo c’ est que l’ autorité qui était venue de Madrid, leur a donné une pièce d’ argent de 25pts. À l’ époque, c’ était trop d’argent. Mais, un peu plus tard, quelqu’un d’autre, leur a dit qu’ ils devraient dépenser l’argent dans le magasin du président de la corporation des pêcheurs. Mon frère avait acheté une paire de tennis qui lui ont coûté 22 pts.
Pour célébrer la visite, les cours avaient fini. L’ après-midi, il y avait une grande intempérie ; alors, les petits garçons du quartier, nous tous, nous sommes allés sur le dock voir comment les vagues sautaient sur le mur. C’était un  spectacle. À la fin, les vagues nous ont surpris et nous étions tout trempés : à s’ en souvenir à tout jamais. Surtout parce que ma mère m’ a grondé et elle m’ a puni : une semaine sans sortir de la maison.     

Paco, 1ère NI 

Je me souviens d’un jour dans la neige avec mes amis. C’était l’année 2006. Nous sommes allés faire du ski à Pajares parce que nous sommes très amateurs des sports d’hiver. Nous nous sommes levés très tôt pour nous preparer et nous sommes partis à 6 heures du matin pour éviter les embouteillages. La première chose que nous avons fait quand nous sommes arrivés à la station de ski ç’a été de prendre un pot pour nous réchauffer; puis nous avons commencé à pratiquer notre sport préféré.

C’était une belle journée, il y avait beaucoup de neige et il n’y avait pas de vent. Le soleil brillait et le ciel était dégagé. Ce que je déteste le plus c’est de faire du ski quand il pleut, donc ce jour-là était parfait pour moi.

 Il n’y avait pas beaucoup de gens parce que c’était un jeudi et normalement tout le monde travaille. J’adore aller à la montagne les jours ouvrables parce que le calme règne partout.

Je me souviens aussi d’une petite anecdote qui a provoqué le rire de mes copains. Quand j’étais en train de descendre du télésiège un homme trés gros, qui n’avait aucune expérience sur la neige, est tombé sur moi et je ne  pouvais pas me lever. Ma meilleure amie, Rosa, qui n’avait pas vu ce qui s’était passé, a demandé à son mari de quoi ils riaient et il lui a raconté l’incident.

Noemí, 1ère NI

J’ai choisi  cette photo parce que je pensais ouvrir mon album à la moitié et cette photo était là. C’est une photo prise il y a longtemps, c`est vrai mais pour moi elle évoque des souvenirs très agréables.

 Au premier plan, c´est moi avec trois personnes. Des deux côtés et derrière, des gens qui occupaient les terrasses des cafés. Au deuxième plan on voyait des maisons suspendues, qui étaient typiques à Cudillero.

J`étais avec trois bons amis. Marco, Juan et Jesús. Nous avions fait ensemble le bac. Notre amitié a continué depuis.

Nous étions dans la place du port de pêche à Cudillero. Nous étions arrivés d’Oviedo, moi et Jesus dont l’épouse était d’une famille de marins-pêcheurs. Marco et Juan sont arrivés plus tard de Madrid.

Nous regardions depuis la place comment un petit bateau de pêche arrivait à quai et qui apportait du poisson pour faire une bouillabaisse. L’arrivée du bateau, dont le patron était le beau-frère de Jesus, avait été longue et nous avions parlé, bu de la bière fumant quelques cigares

Je me souviens bien que nous avions mangé en plein air, le jour était ensoleillé, la mer était calme, pas de vent, seulement une fine brise.

Nos épouses parlaient pendant des heures et les enfants jouaient à compter les bateaux. Nous nous occupions de nos affaires professionnelles et du point de rencontre pour la future réunion, où? Si nous avions les moyens nous partirions à l’étranger.

La journée a été inoubliable.

 Julio, 1ère NI

À la station / Lara

8 janvier 2010

J’ai une photo sur mon secretaire qui, même si elle n’est pas très belle, elle m’apporte de bons souvenirs. C’est la photo d’une petite station de chemin de fer, une journée ensoleillée, où je me trouve assise par terre, à côté de ma soeur et deux amis. La photo a été prise en août, il y a six ans. Nous avons passé une semaine de vacances à Foz, sur la côte galicienne, et nous nous étions bien amusés, mais il fallait retourner chez nous.

On a quitté le camping et on a marché jusqu’à la station parce qu’elle était plus près que la gare. Nous sommes arrivés en avance et nous avons occupé notre temps à faire les dernières photos du voyage, parce que nous devions attendre un peu le train. Comme il n’y avait personne dans la station, on a placé l’appareil-photo sur nos sacs-à-dos pour prendre une photo de tous les quatre. Quand on posait avec nous meilleurs sourires, le train est arrivé et il a fallu monter à la hâte.

Pendant le voyage de retour, nous avons regardé les photos qu’on avait prises à la plage, au village, au camping, mais surtout, la dernière photo à la station. On ne pouvait pas cesser de rire parce que la photo montrait justement le moment où le sifflet du train nous avait effrayés, et nos avions l’air complètement égarés !

Lara, 1ère NI

J’ai regardé une photo qui me rappelle l’époque où j’avais dix-sept ans.
C’était l’été et j’étais allée avec mes amis passer la journée dans une maison à la campagne, près de la montagne. De la maison on pouvait aussi regarder la mer.
Cette maison était à la soeur de nom amie María Rosa, qui était partie en voyage. La maison était petite, blanche et bleue.
Ce jour-là, dont je me souviens très bien, nous nous étions levés très tôt pour arriver à l’heure.
Le jour précédent nous avions acheté beaucoup de sardines et des snacks et des boissons,  aussi
Pour aller à la maison il avait fallu demander à nos parents de nous y déposer, parce qu’ à l’époque nous ne pouvions pas encore conduire.
Pendant que nous avons pris la photo, le soleil brillait et le ciel était bleu, mais le vent agaçait un peu.
Sur la photo, je suis au jardin, à côté de la table où nous avions mis tous les aliments. Je portais un short.
Avant,et pendant qu’une amie allumait le feu pour griller les sardines, les autres jouaient au ballon prisonnier.
Nous avions porté nos maillots de bain et après nous avons pris le soleil. Ensuite, nous avons fait une promenade dans le village.
A neuf heures, plus ou moins, nous sommes rentrés chez nous. Nous avions passé une très belle journée à la campagne.

Dolores, 1ère NI