Un jour à la campagne / Dolores

J’ai regardé une photo qui me rappelle l’époque où j’avais dix-sept ans.
C’était l’été et j’étais allée avec mes amis passer la journée dans une maison à la campagne, près de la montagne. De la maison on pouvait aussi regarder la mer.
Cette maison était à la soeur de nom amie María Rosa, qui était partie en voyage. La maison était petite, blanche et bleue.
Ce jour-là, dont je me souviens très bien, nous nous étions levés très tôt pour arriver à l’heure.
Le jour précédent nous avions acheté beaucoup de sardines et des snacks et des boissons,  aussi
Pour aller à la maison il avait fallu demander à nos parents de nous y déposer, parce qu’ à l’époque nous ne pouvions pas encore conduire.
Pendant que nous avons pris la photo, le soleil brillait et le ciel était bleu, mais le vent agaçait un peu.
Sur la photo, je suis au jardin, à côté de la table où nous avions mis tous les aliments. Je portais un short.
Avant,et pendant qu’une amie allumait le feu pour griller les sardines, les autres jouaient au ballon prisonnier.
Nous avions porté nos maillots de bain et après nous avons pris le soleil. Ensuite, nous avons fait une promenade dans le village.
A neuf heures, plus ou moins, nous sommes rentrés chez nous. Nous avions passé une très belle journée à la campagne.

Dolores, 1ère NI

Grimper aux arbres / Mª José

La photographie en noir et blanc montre deux petites filles sur une petite branche d’arbre, chaque fois que je la regarde, beaucoup de souvenirs me viennent à la mémoire. Nos jeux préferés étaient en plein air ou nous pouvions nous amuser sans que personne nous surveille.

Au printemps nous faisions une balançoire sur un arbre; c’était un pommier, nous y grimpions, nous pouvions manger directement les pommes, ça,c’était superbe (personne n’utilisait de produits chimiques).

Il y avait un autre arbre important pour nous, un noisetier, ses propiétaires étaient deux vieilles dames très sympathiques qui nous racontaient d’étranges histoires que nous écoutions étonnées, elles ne se fâchaient jamais avec nous, elles savaient parfaitement que chaque été un groupe d’enfants voulaient leur prendre les noisettes.

Avec mon amie, nous avions vécu des situations très drôles, nous voulions faire comme les personnages de nos livres préférés, alors après la lecture, nous nous transformions en deux petites détectives privées.

Dans mon village il y avait une salle de cinéma; si nous nous portions bien pendant la semaine, nous pouvions y aller, nos parents nous avaient donné de l’argent, mais ce jour-là nous décidions de ne pas y aller, nous avions dépensé toute notre paye en friandises et nous sommes parties faire une promenade.

À mon avis j’ai eu une enfance formidable.

Mª José, 1^ère NI